Ces ponts sont les derniers témoignages des ponts à péage construits aux 16e et 17e siècles à proximité d'anciens moulins qu'ils desservaient. Ils cessèrent d'être utilisés quand les moulins cessèrent leur activité, à la fin du 19e ou au début du 20e siècle. Les quatre ponts sont construits selon le même principe : des culées appareillées plus ou moins grossièrement ; des piles (2 ou 3) allant du simple blocage de pierre hâtivement calé à un appareillage en pierre taillé plus sophistiqué ; un tablier composé de dalles de granit ; un garde-corps rudimentaire en bois remplacé en fer.
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Ponts sur la Rouvre, dits pont de la Motte, pont de Chênesecq, pont Neuf et pont de Raulette.
Pont de la Motte (cad. non cadastré, au droit de la parcelle C 346, lieudit La Gazette) , pont de Chênesecq (cad. non cadastré, au droit de la parcelle E 262, lieudit l'Isle) , pont Neuf (cad. non cadastré, au droit de la parcelle A 309, lieudit Les Vaux) et pont de Raulette (cad. D 96, lieudit Moulin de Raulette) : inscription par arrêté du 31 août 1993
